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Le
Fascisme |
Mis à jour le 30 novembre 2004. Ce site est consacré à l'analyse
de toutes formes de fascismes, pouvant apparaître dans la société
occidentale contemporaine. --------------------------------------------------------- La définition historique communément admise du fascisme vient d'Italie et de l'époque Mussolinienne : "FASCISME : n.m.(it.fascismo). Régime
établi en Italie de 1922 à 1945, fondé par Mussolini
sur la dictature d'un parti unique, l'exaltation nationaliste et le
corporatisme. Issu de la crise économique, politique
et sociale qui suit, en Italie, la première guerre mondiale,
le fascisme apparaît en 1919 avec la création par Mussolini
des faisceaux italiens de combats. La "marche sur Rome", organisée
par les Faisceaux, consacre la victoire du fascisme, qui établit
progressivement une véritable dictature. La réforme électorale
mise en place par Mussolini assure une large majorité aux fascistes
à partir de 1924 et brise pratiquement l'opposition. Après
l'assassinat du dirigeant socialiste Giacomo Matteotti, les partis politiques
sont dissous, la presse totalement censurée et les chefs politiques
exilés. Le nouveau régime repose sur une idéologie
sommaire (culte du chef : le Duce, de l'obéissance et de l'état),
et s'appuie sur le parti unique, chargé de la propagande et de
l'encadrement des citoyens (en particulier de la jeunesse) dans diverses
organisations hiérarchisées, de style militaire. Des manifestations
spectaculaires renforcent l'impact idéologique du régime.
Le contrôle de l'état, omniprésent, se manifeste
sur le plan économique par l'organisation corporative des métiers,
à laquelle sont soumis patrons et ouvriers. Les réalisations
intérieures du régime (bonification des marais Pontins,
industrialisation accélérée, autoroutes) ne suffisent
pas à résoudre les problèmes économiques
et sociaux, qui s'aggravent avec la crise de 1929. --------------------------------------------------------- Mon harcèlement. Ce harcèlement avait, je pense au départ, simplement pour but de la part de mes harceleurs de mieux me connaître, de mieux connaître ma vie. Mais les événements prirent rapidement une tournure nuisible et intrusive, en s’inscrivant dans un processus d’objectalisation et d’appropriation, à partir du moment où ces individus réalisèrent que je ne recherchais pas les mondanités, et qu’ils avaient la possibilité de m’isoler. J’appris par la suite la quasi-totalité des exactions dont je fus victime. Alors que je fus longtemps persuadé que tous ce qui m'arrivait, était dû au hasard, j’appris à ce moment là que j’étais simplement en train de servir de divertissement à différents groupes élitistes. Ces derniers avaient en effet décidé d'observer ma réaction à différentes épreuves. La majeure partie de ces individus appartenaient à certaines élites sociales -Sciences-Po, l’ENA, le CNRS, le monde du spectacle, et le monde de la télévision entre autres. Ils ne firent qu’étendre leur emprise en faisant participer le moindre fonctionnaire, le moindre de leur contact. Ils se servirent des notes de mon psychanalyste,
de toutes informations qu'ils purent obtenir de personnes que j'ai pu
connaître par le passé, de toutes mes références
culturelles et de tout ce que je pouvais dire pour les provoquer lorsque
je les rencontrais une fois que je les avais identifiés, pour
me déséquilibrer. De la mise en place à Paris en 2000,
d'une stratégie rationnellement programmée afin de modifier
mon équilibre, et me faire adopter des comportements conditionnés,
qu’ils filmaient jusque chez moi, -ce que je cherchais à
savoir, en décidant volontairement (même si je me demande
toujours dans quelle mesure j’ai pu être manipulé),
de donner dans le spectaculaire, sans soupçonner pendant longtemps
que cela fut rendu public -, je me suis retrouvé avec un statut
de criminel, condamné sans jugement et livré à
la vindicte publique. Mon départ avait été rendu nécessaire par l’accroissement phénoménal du nombre de gens qui me harcelaient. Durant certaine période, j’ai eu l’occasion de subir une trentaine d’agressions quotidiennes, avant que je n’abandonne toute activité. J’avais en fait été pris pour cible par les individus les plus pervers au sein de ces groupes, qui se firent un devoir de me massacrer, suite aux provocations que j’avais pu faire. J’ai pu cependant subir jusqu’à dix agressions quotidiennes dès l’été 2000, et j’ai nettement pu constater une augmentation constante de leur nombre dans le temps, et notamment après m’être engagé dans deux pugilats. C’est, je pense, davantage ma répulsion à me battre par la suite, par crainte de représailles, plutôt que ce que j’ai pu déclarer à différents moments, qui a été à la cause de cette hargne. Tous ces gens partageaient en fait un objectif commun : voir de quelle manière je me rebellerais en étant mis au ban de la société, et filmer mon suicide in situ ou tout autre passage à l'acte que j'aurais été susceptible de faire. C’est l’absence de conduites à risque de ma part, qui les amena à accentuer toujours davantage la pression à laquelle ils me soumettaient. Je fus par ailleurs durant l’année
2001, peut être drogué et violé. Le harcèlement
a la particularité de faire perdre toute confiance, et de faire
douter la victime de son propre ressentis. Je préférais
alors partir en voyage plutôt que de chercher à comprendre
quoi que ce soit, et de porter plainte. J’appris toujours durant cette période que de nombreuses personnes m’appréciaient en france et dans les pays anglo-saxons. Cependant d’autres informations que je pus obtenir m’amenèrent, écoeuré et furieux à cette époque, mais finalement pas à plaindre, à décider de refaire ma vie en Thaïlande, avant de revenir peut être un jour en france. Ce projet ne fut pas réalisable comme tout autre projet que je pouvais être tenter de réaliser. J’étais suivi et harcelé dans tous mes déplacements. J’avais appris aussi que j’étais filmé dans les chambres d’hôtel que je pouvais prendre depuis plus d’un an. Je comprenais davantage ce qui se passait mais je ne voyais pas comment faire cesser la spirale haineuse que je subissais. C’est après avoir subi une dernière série de viols, dont l’un d’entre eux avait visiblement été mis en scène pour faire de moi un meurtrier, que je quittais l’Asie. Mes harceleurs me firent savoir alors qu’ils utilisaient une drogue qui ne me laissait plus l’espoir de continuer à travailler sur le continent asiatique, à moins de vivre avec le risque d’être enlevé, drogué et prostitué, ou d’avoir à tuer quelqu’un. En définitive, j'ai postulé
suite à toute cette histoire, que cette stratégie adoptée
à mon encontre, venait du fait que les différentes élites
d'un pays, sont de par le pouvoir dont elles disposent, relativement
blasées. Ces individus sont visiblement sans cesse à la
recherche de nouveaux plaisirs susceptibles de les sortir de leur ennui
chronique, et une certaine marginalité s'est développée
chez beaucoup d'entre eux, notamment dans la recherche de sensations
toujours plus extrêmes, loin de toutes considérations morales,
éthiques ou sociales. Cette tendance se banalisa avec internet.
Ils m’ont aussi donné le sentiment d’avoir quelques
tendances fascistes. C'est cet état de fait qui m’amena
à penser, au vu des divergences d'opinions qui régnaient
entre moi et mes tortionnaires, que je rencontrais absolument tous les
jours depuis 4 ans, que le fascisme est transmis par l'éducation
que les individus reçoivent, via un processus d'intériorisation.
Je ne pense pas que ce soit une fatalité, et un contrat social
pérenne suggère que tout le monde soit soumis aux même
lois. Je pensais alors à la nécessité de réguler
l’impunité dont bénéficie toutes ces personnalités
afin d’éviter ce genre de dérives criminelles, par
exemple en équipant des cellules de prison avec des ordinateurs
reliés à des serveurs distants. Cela permettrait peut
être de continuer à utiliser leurs compétences en
cas de dérives de la part de bureaucrates, tout en constituant
une nouvelle menace dissuasive de lutte contre le crime. Ce fut difficile avant que je ne comprenne
ce que j’ai subi dans toute sa globalité et, je me rends
vraiment compte aujourd’hui à quel point j’ai été
dupe, mais ce n’est pas ce qui me désole, car je ne suis
pas le seul à l’avoir été. |